Lettre 229 L’UNRWA au service du terrorisme

 

En pensant faire le bien, tu peux contribuer au mal.

C'est le cas des contributions humanitaires: 

UNRWA. 

Terme barbare fagocité par des barbares.

Siège de l'UNRWA dans la bande de Gaza

Une enquête israélienne publiée par le New York Times révèle que 12 employés de cet organisme humanitaire ont participé aux massacres du 7 octobre.

Scandal in the family.

Ce rapport ajoute que 10% des 10.000 employés sont liés aux organisations terroristes et que la moitié en sont proches par famille interposée.

Est-ce bien surprenant alors que l’ONU dont elle en est l’émanation, diligente une politique anti israélienne dont le dernier épisode de la CIJ en est l’illustration.

Explications.

UNRWA veut dire "Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient" (United Nations Relief and Works Agency for Palestine Refugees in the Near East)

Créé officiellement le 27 décembre 1949 à la suite de la première guerre israélo-arabe son but de est de répondre aux besoins essentiels des réfugiés palestiniens en matière de santé, d'éducation, d'aide humanitaire et de services sociaux. 

D'ordinaire, c'est le Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés qui est chargé de cette mission.

Mais pour les réfugiés palestiniens l'ONU a créé cet organisme qui répond à des critères particuliers et exorbitants du droit commun.

Selon la définition de cette agence, un réfugié de Palestine est une personne dont le lieu de résidence habituelle était la Palestine entre juin 1946 et mai 1948 et qui a perdu à la fois son domicile et ses moyens de subsistance en raison de la guerre israélo-arabe de 1948/1949. S'y ajoutent dans une moindre proportion, ceux qui ont fui ou ont été expulsés en juin 1967, pendant et après la guerre des Six jours.

Mais ce n'est pas tout. Il y a une exception spécifique au profit des Palestiniens.

Cette définition de réfugié couvre également les descendants des Palestiniens, contrairement à la notion de réfugié adoptée par le HCR qui considère que le statut de réfugié est personnel.

Ainsi, les réfugiés palestiniens sont les seuls à bénéficier de cette notion extensive de générations en générations ad vitam aeternam.

En conséquence, le nombre de réfugiés palestiniens enregistrés est passé de 700.000 environ en 1950 à plus de 6 millions actuellement.

Pourquoi une telle dérogation d'un droit imprescriptible très critiqué?

Cette agence est accusée de perpétuer le statut de réfugiés des Palestiniens et de déployer plutôt ses efforts pour que ces derniers ne soient jamais intégrés dans les pays arabes d'accueil, suivant en cela une résolution d'après 1948 de la Ligue arabe visant expressément à ne pas leur accorder la nationalité de leurs pays de résidence.

Et c'est là que le bât blesse. On perpétue ainsi le problème sans jamais le résoudre.

Les réfugiés palestiniens qui ont fuit ont été "accueillis" dans les pays arabes voisins en guerre avec Israël savoir, le Liban, Syrie, Jordanie, Cisjordanie (Judée Samarie) et Gaza, lesquels leur ont promis un retour dans leur foyer dès qu'Israël serait rayé de la carte!!

Il n'était donc pas question de les intégrer.

L'agence alimente elle-même le problème des réfugiés afin que ces derniers gardent éternellement ce statut jusqu'à obtenir gain de cause.

Elle applique en cela résolution 3236 de l’Assemblée générale des Nations unies adoptée le 22 novembre 1974 qui réaffirme le « droit inaliénable des Palestiniens de retourner dans leurs foyers et vers leurs biens, d’où ils ont été déplacés et déracinés, et demande leur retour ».

En contrepoint, Israël a accueilli et intégré des millions de réfugiés juifs, soit chassés des pays arabes à la suite des différentes guerres, soit les rescapés de la Shoah ou encore les juifs russes après la chute du rideau de fer.

Israël a également intégré les Palestiniens qui sont demeurés sur son territoire avec tous droits attachés à la citoyenneté.

Israël conteste donc ce droit éternel au retour dont le but et la conséquence serait de noyer le pays par une majorité d'Arabes et provoquer ainsi sa disparition.

De plus les règles internationales n'appliquent le droit au retour qu'à titre individuel, et non à titre collectif comme conséquence d'une guerre.

En outre, les accords de paix négociés avec les pays arabes ne prévoient aucun droit au retour.

Pourtant les jeunes Palestiniens sont éduqués dans cet espoir fou de revenir un jour la où ses ancêtres vivaient, à Saint-Jean d'Acre, Jaffa etc....

Dans la Bande de Gaza, 1,5 million de Gazaouis sont enregistrés comme réfugiés auprès de l'UNWRA laquelle y emploie environ 10.000 salariés soit une disproportion flagrante par rapport aux autres organisme onusiens.

(1 employé pour 178 réfugiés à l'UNWRA alors que pour le reste du monde, 1 pour 9375)

90% du personnel est palestinien. Ceci explique celà.

Qui finance les milliards de dollars du budget:

Principalement les USA et l'Europe, accessoirement l'Arabie Saoudite. Les autres pays pétroliers zéro pointé.

Ces contributeurs ont été alertés à diverses reprises des abus pratiqués au sein de cet organisme car les comptes sont troubles. Des liquidités importantes disparaissent et pourraient bien alimenter des fonds terroristes.

Quant à l'instruction dispensée par du personnel arabe, elle développe la haine des sionistes et les programmes éducatifs sont centrés sur la formation para militaire et l'incitation au terrorisme.

Comment pourrait-il en être autrement dans un territoire dirigé par le Hamas et avec lequel elle est soupçonnée d'être liée.

Il n'est donc pas surprenant que les tunnels du Hamas sont creusés sous les écoles et institutions de l'UNWRA. (Sans parler des mosquées et hôpitaux)

Les USA ont divisé par deux leur subvention il y a quelques années, et viennent de la suspendre totalement à l'instar de nombreux autres pays dont la France.

La participation d'enseignants aux massacre du 7 octobre a fait l'effet d'une bombe. En réalité, c'était l'évidence même, et un secret de polichinelle; la conséquence évidente de décennies de financements aveugles.

Ainsi, en contribuant à la survie d'une population, une organisation internationale et ses soutiens financiers n'ont fait que contribuer au mal et à se trouver confrontés à une complicité du plus grand massacre depuis la Shoah.

L'ONU demande officiellement à ces contributeurs de revoir leur position faute de quoi, elle devra suspendre l'aide humanitaire.

António Guterres, Secrétaire général des Nations Unies ajoute « Les présumés (Sic) actes abjects de ces employés doivent avoir des conséquences. Mais les dizaines de milliers d’hommes et de femmes qui travaillent pour l’UNRWA, beaucoup dans des situations parmi les plus dangereuses pour des travailleurs humanitaires, ne devraient pas être pénalisés. Il faut répondre aux besoins urgents des populations désespérées dont ils s’occupent ».

Cette affaire est un soufflet au visage de celui qui n'a pas hésité à accuser Israël d'être responsable de son malheur en soutenant que le 7 octobre ne vient pas du néant.

Il est désormais prouvé que ce malheur a pour origine un soutien inconditionnel à une idéologie qui mène tout droit au terrorisme.

Donner c'est bien, donner avec la certitude de la destination caritative c'est mieux.

En l'espèce, le diction chinois selon lequel mieux vaut offrir une canne à pêche que du poisson devrait faire réfléchir les généreux donateurs.

Les seuls qui leur offrent du travail sont les Israéliens.

Mais cette manne risque de leur manquer.

Il faudra donc que les généreux donateurs remettent la main au portefeuille avec davantage de contrôles.

Vœux pieux?

C'est ici que commence le "jour d'après". Mettre un peu d'ordre dans ce pataquès.

Et dire qu’il existe des gens assez fous pour proposer l’UNRWA au prix Nobel de la paix. Pourquoi pas l’attribuer conjointement à l’UNRWA et au Hamas!!!