Lettre 310 Dissolution de Gaza

 Il est grand temps d’ouvrir les yeux.

En toute objectivité, sans acrimonie, sans haine car elle estompe le jugement. Pour certains ce sera dur, très dur de descendre des hautes branches où ils sont perchés.


Qui pourrait guérir Gaza du terrorisme 

Trump a parlé, le vieux monde a crié au scandale et bien plus fort qu’après le massacre du 7 octobre. Une simple idée a fait plus de bruit qu’une Shoah bis.

Transfert, c’est un crime de guerre. Laisser les gens pourrir sous un régime assassin mais sur « leur terre » c’est acceptable. 

Commençons par le début. 

La bande de Gaza est un conglomérat d’une population dont une partie importante s’y est réfugiée lors de la création de l’Etat d’Israël en 1948. Ils sont pour la plupart placés sous le statut de réfugiés et donc placés sous la protection internationale de l’UNRWA. Cette enclave faisait partie intégrante de l'Egypte jusqu’en 1967 jusqu’à la prise du pouvoir du Hamas en 2007.

Ils sont de nationalité palestinienne. Un statut complexe, juridiquement mal défini, rattaché à un État fantôme, et dont le passeport est inégalement reconnu.

Un imbroglio bien déroutant. L’ONU en est le promoteur. Les pays arabes en furent longtemps les thuriféraires. C’est de la bonne chair à canon. Une bien lourde casserole attachée au cul d’Israël depuis 1948.

Bien joué!!

Venons en au 7 octobre 2023.

La population civile palestinienne fut largement contributrice soit dans les rangs des terroristes, soit en les accompagnant dans leur équipée sauvage.

Il y a forcément une sanction à ce crime odieux. Et puisqu’ils ont déclaré la guerre à Israël en bombardant massivement et aveuglément, Tsahal a fait pleuvoir en réaction un déluge de feu mais de façon mieux ciblée.

Il y eut des victimes collatérales, cela va sans dire. On ne fait pas d’omelette……Mais une partie importante de l’habitat est rasé. Inhabitable.

Certains diront pas assez.

Nous savons tous que cette guerre d’usure qui dure depuis des décennies ne prendra pas fin tant que le Hamas sera aux commandes. Avec le concours de la population ou sa soumission. Il faut bien remplir chaque jour sa gamelle!

Pour le monde occidental bien pensant, la solution réside dans la présence de deux États vivant côte à côte en paix. 

Seul un jeanfoutre vivant à des milliers de kilomètres peut raisonner de la sorte. En ignorant la dure réalité du conflit, l'Occident prend fait et cause pour le terrorisme à son corps défendant.

Le 7 octobre doit avoir des conséquences irréversibles. Une punition universelle devrait frapper moralement ce pseudo « peuple » comme l’œil de Caïn le poursuivant à quelque endroit qu’il se cache. Jusque dans la tombe!

Mais le 7 octobre est déjà très loin chez les esprits faibles. Comme une péripétie de l’histoire. Hamas seul coupable, la population innocentée, lavée de toute accusation.

Elle a donc le droit légitime de retourner chez elle, home sweet home.

Trump a montré un autre chemin. Celui de la libération. Quitter cette terre d’emprunt qui n’est pas la leur. Gaza est une prison à ciel ouvert dont le Hamas est le gardien et le tortionnaire. Nul n’en sort, tous doivent contribuer à combattre le sionisme, que cette lutte soit la leur ou non.

Beaucoup y adhèrent, les autres n’ont d’autre recours que la soumission. Trump a initié une porte de sortie bien vite refermée par ceux censés les accueillir tels des frères face à l’adversité.

Et tous de trouver ça très bien!!! D’approuver ce refus catégorique. Un transfert, quelle horreur. C’est criminel.

Et ce monde de béni-oui-oui ignore que des Gazaouis enrichis ont payé 10.000 dollars par personnes à des douaniers corrompus pour fuir cet enfer par la frontière égyptienne. Pour les autres, point de salut!

À Gaza, il n’y a rien, ni pétrole, ni idées, rien que du sable. Ce sable que Trump voudrait convertir en tourisme de luxe. Il est vrai qu’il y a la un potentiel qui aurait permis à cette enclave de prospérer. Mais des femmes en monokini sur sable d’Islam est-ce bien raisonnable? Se baigner la où il y a eut 50.000 morts. Quelle horreur!

Pourtant ces bonnes âmes ne répugnent pas à se baigner sur les plages ensanglantées du débarquement de Normandie.

Gaza le petit Singapour du Moyen-Orient. Le Monaco de la Riviera orientale. Un rêve possible avec le soutien américain ou saoudien mais sans le Hamas. Sans le 7 octobre.

Donc on oublie. Ni rêve américain, ni prospérité mais la prison à vie jusqu’au prochain 7 octobre. Voilà bien la promesse, la perspective idyllique.

Trump ne veut ni occuper Gaza, ni envoyer ses boys combattre le Hamas contrairement à ses propos provoquant. 

En lançant une idée provocatrice qu’il sait irréalisable, il ne fait qu’interpeller, que poser une question: « Que proposez vous? Je vous écoute! »

Et c’est le silence assourdissant ou l’antienne solution à deux États qui n’est plus sur la table.

Trump a compris qu’il sera difficile voir impossible de remplacer le Hamas. Il veut donc dissoudre le problème, comme on dissout une association qui prône des idées illégales. La dissolution comme solution définitive.

Pas la déportation. Le déplacement volontaire vers un avenir différent, meilleur, libre. Mais détaché d’un sol souillé, d’une organisation mortifère, d’un enseignement de la haine.

Personne ne l’a compris ainsi, tous ont protesté. « Let my people go! Leur avenir est en prison. C’est leur choix, c’est leur droit. Qu’il est beau ce peuple qui s’attache à sa terre!!! Trump assassin».

Que n’a t on entendu d’inepties sur le thème de l’autodétermination. Et on a même trouvé des Palestiniens qui refusaient de partir et d’autres, plus nombreux, qui refusaient de les accueillir.

Bref un concert sans fausses notes de condamnations pour un « peuple » condamnable mais à qui on pardonne bien des pêchés.

Mais tout sonne faux! L’agresseur devient victime, la victime est refoulée, ignorée, banalisée voire diabolisée. Il faut croire que face au terrorisme, le monde imprégné d’humanisme se trompe dans la résolution de l’équation pour aboutir à un résultat inverse. Il traite l’inhumain avec humanité. Jésus est de retour! Donc l’Occident sera crucifié pour n’avoir rien appris de l’histoire.

Trump a montré un chemin. Dissolution. Gaza est une terre impure que le sable du désert doit recouvrir pour la purifier.

Aux pays arabes de proposer mieux.

Car sinon ce brave « peuple palestinien » continuera à servir dans les rangs terroristes jusqu’au dernier. C’est son sort, sa destinée, sa génétique. Avec la bénédiction de tous puisque personne n’a trouvé d’autre solution et que Trump est le jeanfoutre de service. L’idiot utile d’une autre planète.

C’est l’histoire du médecin qui annonce à son patient qu’il soigne depuis dix ans pour un diabète avancé: « Je vais vous trouver un nouveau traitement bien plus efficace »

Il ouvre son Vidal et cherche la page D, Dia, Diab….Mais le temps passe et la salle d’attente se remplit et à chaque coup de sonnette, le médecin se rend compte qu’il prend du retard.

«Bon, cher monsieur, je vous fait votre ordonnance habituelle. On verra la prochaine fois».

Gaza est malade du terrorisme, une maladie absente du Vidal et donc sans médication. La aussi la sonnette retentit, comme une alerte, mais on attend la prochaine fois pour rechercher la solution. Le prochain 7 octobre!

Car selon eux, que représente 1.500 victimes juives face aux 50.000 pauvres Gazaouis. Vous avez dit erreur de calcul? Il n’y a pas d’inconnue dans l’équation. Il n’y a que des paramètres faussés et trop connus.

Si Trump est un docteur Knock, alors le monde occidental est bien malade, bien aveugle, bien égaré. La aussi le Vidal est sans médication.


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