Lettre 249 Les otages en question
Il resterait 133 otages vivants ou morts. Telle est désormais la façon de présenter la question à la population. Et on ne parle plus que de ça. En toutes choses, le respect des principes est primordial: * Il n’y a pas de plus grande Mitzwa (bonne action) que le rachat des prisonniers * On ne fait pas la guerre avec 250 otages entre les mains des terroristes * On ne négocie pas avec eux Manifestation organisée cette semaine par les familles d'otages pour leur libération Pourtant, la première libération de 110 otages s’est déroulée de façon plus que surprenante, conformément aux accords. Il se trouve que le Hamas était demandeur. La puissance de l’action et la pression militaire exercée par Tsahal avait surpris le Hamas lequel peinait à s’occuper d’un nombre aussi important d’otages. Il en aurait placé chez des particuliers contre rémunération. Une fois les otages libérés, le Hamas escomptait poursuivre les négociations et n’avait pas prévu que le cabinet de guerre ordonnerait aus